Après un défilé en Tunisie de prédicateurs dont le physique reflétait merveilleusement bien la haine et le sang, nous avons bien vu des petites filles revêtues de voiles roses dans des écoles coraniques ou jardins d’enfants anarchiques.
Nous avons ensuite entendus des parents meurtris, également, suite à l’endoctrinement de leurs gosses partis se faire tuer en Syrie, en attendant de se repaitre de pauvres gamines, désœuvrées, venues de Tunis où de Londres…
Les niquabees se courbant en acceptant le statut de coépouse, de complémentaire, se prennent au jeu, comme si c’était un Must de sortir en « scarabée » !
Ces prêcheurs qui s’arrogent le droit d’émettre des fatwas embourbées de sang, vomissent et haïssent de tous leurs pores, l’Occident, même s’ils ne peuvent se passer de sa technologie de ses médocs, et de ses baskets.
Ces mêmes islamistes qui clament haut et fort le respect de la femme en la traitant comme une esclavage ou mieux encore comme une « chose » sont et resteront dangereux.
En Tunisie, j’avais souvent fait part de mes préoccupations à nos amis ambassadeurs Occidentaux en poste à Tunis quant à ce vrai danger mais je n’avais eu pour seule réponse que ceci : «Narjès, il faut apprendre à cohabiter avec le parti islamiste. Nous croyons à l’Islam modéré. »
Que pensent les dirigeants, aujourd’hui même, où la liberté d’expression et la liberté tout court sont remis en cause ? Ma Tunisie est sur les genoux depuis qu’ils y ont mis les pieds et mon second pays la France, est en train de se fracturer méthodiquement, faisant un amalgame effrayant entre l’Islam et l’Islamisme !
À quand un Conseil Constitutionnel indépendant et sage qui contrôle les lois et la liberté ?
Par Narjes Galy