44 jeunes beagles (une race de chien originaire d’Angleterre) ont été utilisés dans un laboratoire en Tunisie, et certains ont eu leurs cordes vocales coupées afin que le personnel puisse travailler sans être dérangé (sans aboiement).
Les membres du Congrès US, dont la plupart sont des républicains, veulent que Fauci s’explique et répond aux allégations du White Coat Waste Project.
Yesterday, I sent a letter to Dr. Fauci regarding cruel, taxpayer-funded experiments on puppies; debarking before drugging and killing them. Thankful to my 23 democrat and republican colleagues who signed on. This is disgusting. What say you @NIH pic.twitter.com/c54SXipD9Q
— Rep. Nancy Mace (@RepNancyMace) October 23, 2021
Dans une lettre, ils exigent des réponses du Dr Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses et du conseiller médical en chef du président Biden.
« Hier, j’ai envoyé une lettre au Dr Fauci concernant des expériences cruelles financées par les contribuables sur des chiots ; écorcer avant de les droguer et tuer. Merci à mes 23 collègues démocrates et républicains qui ont signé cette pétition,» avait publié sur Twitter Nancy Mace, représentante de la Caroline du Sud au Congrès américain.
La White Coat Waste affirme que 44 chiots beagle ont été utilisés dans un laboratoire en Tunisie et que certains de ces chiens ont eu leurs cordes vocales coupées, prétendument pour que les scientifiques puissent travailler sans aboiement ou bruit.
« Nos enquêteurs démontrent que la division NIH de Dr Fauci a envoyé une partie d’une subvention de 375 800 $ à un laboratoire en Tunisie pour droguer des beagles, bloquant leur tête dans des cages remplies de phlébotomes affamés afin que ces insectes puissent les dévorer vivants », a déclaré White Coat Waste à Changing America.
« Ils ont également enfermé des beagles seuls dans des cages dans le désert pendant neuf nuits consécutives pour les utiliser comme appâts dans une chasse aux phlébotomes.» (Des petits insectes de l’ordre des Diptères et du sous-ordre des Nématocères morphologiquement proches des moustiques).
« Les chiens avaient tous entre six et huit mois. Les tests commandés consistaient à injecter et à gaver les chiots d’un médicament expérimental pendant plusieurs semaines, avant de les tuer et de les disséquer.»