Tunis – En présence des ministres tunisiens des Affaires sociales, du Tourisme, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, l’Agence Nationale pour l’Emploi et le Travail Indépendant ANETI et l’Union française des métiers et des industries de l’hôtellerie UMIH ont signé hier un accord majeur qui va accélérer l’envoi de travailleurs saisonniers tunisiens dans le secteur de l’hôtellerie en France.
En présence des ministres des Affaires sociales, du Tourisme et de l’Emploi, l’@ANETITUNISIE et l’#UMIH 🇫🇷 ont signé un #accord majeur qui va accélérer l’envoi de travailleurs saisonniers tunisiens dans le secteur de l’#hôtellerie en France.#Emploi #Jeunesse #Mobilité 🇹🇳🤝🇫🇷 pic.twitter.com/newXr4eT8U
— La France en Tunisie 🇫🇷🇪🇺 (@FranceTn) June 30, 2022
Alors que les clients reviennent plus vite que prévu, l’attractivité du secteur est au point mort. En plus de nuire à la qualité de service, le manque de bras oblige les professionnels à limiter l’activité.
La « grande démission » des salariés de l’hôtellerie et de la restauration n’en finit pas de faire des ravages. Dans tous les départements, il manque du personnel en salle, en cuisine, pour faire les chambres, le ménage, accueillir les clients…
Certes, depuis des années, les professionnels du tourisme en France peinent à recruter. Mais jamais ils n’avaient souffert d’une telle pénurie de main-d’œuvre. La pandémie est passée par là, minant l’attractivité de métiers…
Roland Héguy dans l’émission 28 minutes sur Arte « Il y a 1,5 million de jeunes de moins de 25 ans sans travail, sans formation et sans emploi. Nous leur tendons la main : nous leur demandons d’avoir le sourire, de la volonté et nous les formons dans nos entreprises. »(…) « La convention collective existe, elle est là pour être appliquée ».